Annales de la Société Entomologique de France V11-18

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Annales de la Société Entomologique de France V11-18

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, ANNALES DE LA SOCIÉTÉ ENTOMOLOGIQUE DE FRANCE Nalura maxime miranda in miniinis TOME ONZIEME PARIS CH PITOIS, ÉDITEUR ON SOUSCRIT CHEZ p : BERTRAND, LIBRAIRE, RUE ST-ANDRÉ-DES-ARCS, 58 Strasbourg, Y" LEVRAULT, IS42 rue des Juifs, 33 , >fl ^ >^^ fi C TTOT El !9I7 ^^ ir J' ANNALES DE LA SOCIÉTÉ ENTOMOLOGIQCE DÉ FRANCE Nalura mailmè miranda TOME ONZIEME ^r^micr trimestre 1842 |lart0 CH PITOIS, ÉDỴTEUR RUE DE L'ODÉON, N, 35 Û DCCCXLIL in miniinis EXTRAIT DU RÈGLEMENT DE I.A SOCIÉTÉ ENTOMOLOGIQUE DE FRANCE Aztiaée S84'i Le montant de , de par an la cotisation — , 10* de sa fondation pour les membres de la Société, est> : 24 26 fr fr pour les — membres résidant — Paris en France et l'étranger Les membres résidants paient leur cotisation d'avance et par trimestre (Règl., art 55.) Les membres non résidants doivent faire parvenir la leur au Trésorier de la Société, sans frais, immédiatement après Vannonce de leur nomination, et, pour les années suivantes, dans le courant du mois de janvier (Règl., art 55, et séance du mars 4853.) Les memores de la Sociộtộ ne reỗoivent leurs Annales que par la Société Les numéros auxquels ils ont droit sont envoyés francs de port jusqu'à résidence : Aux membres de Paris, après réception du trimestre correspondant celui du numéro paraissant; Aux membres hors Paris, après réception de leur cotisation de l'année courante; Et francs de port jusqu'à la frontière, aux membres étrangers, également après réception de leur cotisation de l'année courante (Règl., art 6.) La Société correspond par l'entremise de son Secrétaire et de son Trésorier Le premier a dans ses attributions la correspondance scientifique ; le second, celle qui concerne le recouvrement des cotisations et l'envoi des numéros des Annales Les lettres et paquets doivent être adressés, francs de port, l'un comme l'autre, rue d'AnjouDauphine, n° 6, Paris (Règl., art 57.) Nota Pour ne pas éprouver de retard dans l'envoi de leurs Anna, il est essentiel que MM les Membres franỗais et ộtrangers adressent, le 1" janvier de chaque année , le montant de leur cotisation au Trésorier de la Société, les premiers par mandat sur la poste aux lettres, les étrangers par la voie du commerce Chaque auteur d'un Mémoire inséré aux Annales a droit un tirage part de 10 20 exemplaires, dont le prix est de cent, par feuiỵle d'impression, 10 cent, par planche en noir, et 35 cent, par planche coloriée Tl doit informer le Secrétaire de ses intentions en même temps qu'il envoie son travail , et joindre sa première cotisation le montant du tirage part après l'impression du Mémoire les ANNALES DE LA SOCIÉTÉ ENTOMOLOGIQUE DK FRẻNCE OIfI]yiUlƠlATIOIV l^ERBAIiE SUR LA Ptộrologie DES Lộpidoptốres (PI Par M Al ( Séance i, ii, m.) LEFEBVRE, du 19 janvier 1842.) M Al Lefebvre présente de nombreux dessins l'appui d'une méthode qui a pour objet faciliter la classification et des Lépidoptères Elle repose exclusivement sur la description des caractères qu'offre le système nervulo-alaire dans les insectes de cet ordre L'auteur s'exprime en ces termes « plusieurs ordres, avait été l'objet de me : Depuis plus de dix ans Messieurs, celte élude, dans disposais àen qu'enl836,je faire conntre fus obligé de lionsqu'elle avait bien voulu mes investigations, et je les résultats la Société, lors- me démeliredes honorables foncme confier, de m'éloignerde Paris ANNALES et d'abandonner mes occupations entomologiques pour un temps illimité Aujourd'hui « , permis de reprendre de temps qu'il m'est autre ces occupations favorites , l'honneur de vous sou- j'ai mettre une partie des dessins ptérographiques faits pour la plupart l'époque dont je viens de vous parler, ainsi que la méthode cjue j'essayais d'introduire l'aide des nervures qui , constituent la charpente des ailes des Lépidoptères Je vous en un entretins instant, en 1832 (1), au sujet d'un groupe de ces insecles de la tribu des Satyrides ment de nombreuses eux, VArgé Galatea d'entre ; , dans variétés j'eus occasion de vous parler de cette plus tard et, , relative- dessin alaire de l'un le même, dans la suite, méthode appliquée une tribu de l'ordre des Névroptères me manquerait si j'avais vous analyser les que Harris, Dalman , Godart, plus récemment Le temps « travaux MM.'Duponchel, Boisduval, Guénée de Haan, etc., et Deviltiers, Lacordaire, ont publiés sur ce sujet, notre collègue M le docteur Rambur et tout nouvellement seulement, avant de : terminer, je m'arrêterai sur ce dernier entomologiste, parce m'a paru avoir voulu résumer qu'il les travaux de ses prédé- cesseurs sur ce sujet trop peu étudié jusqu'à ce jour, et en tirer parti « Je me teurs, loin pour la classification bornerai donc vous dire que tous ces premiers au- de rechercher des caractères génériques dans la dis- position de ces nervures, se sont contentés de désigner les principales sous des noms au fur assez diflerents et besoin de les distinguer nominativement se le « ses et mesure que faisait sentir Frappé, depuis longues années, des ressources précieu- que MM Jurine, Meigen, Macquarl Schilling, et autres , avaiehl puisées dans les premières ailes des Hyménoptères, (i) ^nn de la Soc Eni de France , tom i, p 82 DE LA SOCIÉTÉ ENTOMOLOGIQUE Diplèies et des Hémiptères; ayant étudie: moi-nièinc les ilcs caractères que la nature a imprimés parmi ces divers ordres dans ces organes de locomotion, je remarquai quVïile inscrivait d'une manière plus particulière , sur les premières ailes que sur les secondes nous, persuadai en outre ,en m'appuyanl d'ailleurs sur que dans l'organe observations, prédominant dans tel mes plus développé, me Je propres le plus ordre, devaient nécessairement résider plus sûrs, les plus Irancbés Dès lors, je caractères les les le les plus sensible pour m'attachai àtrouver, surtout aux premières ailes des Lépidoptères, quel plan la natm-e avait voulu suivre dans marche compliquées, devaient nvoir un but et tion de leurs neivures, dont la et la distribu- la forme souvent n'être pas l'effet si d'un capricieux hasard « Dqà par un simple dessin alaire propre ces diurnes G Ar(jé(Bd.), j'avais remarqué il était répété la l'espèce, de sitive ù travers faire reconntre les variétés les du avec laquelle place, ne variant de forme manière se même , même la persistance que selon d'une manière po- plus anormales dont ce dessin n'était jamais atteint, tandis que tout changeait aulour de lui et que les autres dessins étaient plus ou moins allérés « Par induction , je pensai que les nervui^s (1), ayant une bien autre importance ou du moins certaines d'entre vaient présenter, selon la famille, genre , peut-être et même selon la elles, tribu, le groupe, l'espèce , dele des caractères bien plus intéressants connaitre, bien plus utiles étudier (1) Employé ainsi d'une manière générale, pour ne rien changer aux expressions consacrées, j'entends toujours tout le système vasculo-aérifèi'o des ailes, bien que dans l'application je lui fasse représenter telle espèce de nervure De même qu'on dit les Papillons pris généralement, sans pour cela désigner seulement les Lépidoptères du G Papillon , clo AiNNALES Vous voyez, Messieurs, que mon ambiminime, et que je me préparais un travail de longue haleine, peut-être même de toute une vie d'homme « El tout d'abord me tracer une roule, la jalonner de capour la classifjcalion tion n'était pas ractères naturels, invariables, était ce quoi jedevais procéder, me devenait le premier but que je A « foi'ce d'examiner uns, par leur position une nervure en proposais d'atteindre l'aile dont parfois quelques- coloration, simulent assez bien et leur un plus accusé, beaucoup plus les espèces que invariablement du milieu du bord ex- existait les autres, et je consultais, partait térieur de en imposer au premier coup-d'il, je |)0ur m'aperỗus qu'il en long que tous les plis qui, dans toutes prolongeant longitudinalement travers se cellule discọdale, qu'il y ẻt ou non une petite la nervule Iransverse closant cette cellule une Vérifié sur « caractère me assez grande ou tribus, toutes les familles masse de Lépidoptères de tant exotiques qu'indigènes, ce parut constant, et souvent existant l'excès dans certains groupes Quelque faible pût être parfois, sa qu'il prolongation constante était toujours fort remarquable en comparaison des autres plis inlernervulaires qui tous, comme que présentent discoïdale ailes, mais, s'arrêtent devant une barrière infranchissable, aux coudes les méplats qui entourent Ce caractère persistant comme je m'y devais et forment se répétait attendre, la cellule aux deuxièmes plus souvent le d'une manière moins sensible, tandis qu'aux premières était « il toujours très reconnaissable J'avais donc réussi trouver relie, positive et nullement arbitraire parmi ces branches qui radient de la base la marge Je en raison de sa position, pour «Ce une ligne de démarcation natu - point une fois arrêté, le les nommai ce pli , pli cellulaire distinguer de tous les autres rameaux se divisèrent natu- rellement en deux groupes, l'un supérieur, l'autre inférieur ; DE LA SOCIÉTÉ ENTOMOLOGIQUE même ce pli les inférieurs Les supérieurs produits par par médiane Quant la la la sous-costale (1), ncrvule transversale qui clơt lacellule discọdale lorsqu'elle est fermée, nervule que semble parfois soulever en partie ou faire dévier la pli cellulaire, vu quelquefois son absence totale, traverse et puissance du lorsqu'elle existe, elle nt le plus souvent delà base ou que première supérieure la comme de la de première inférieure, en (voy Erebus Crepuscularis?) restant incomplète son milieu vu qu'elle peut aussi procéder indistinclement de l'un ou de l'autre faisceau , et demeurer nulle ou du moins très faible l'une de ses extrémités; qu'elle est aussi, dans son état le plus normal, susceptible une attache force, dune, par dans toute sa longueur une égale d'offrir aussi solideà ses deux bouts, etc ne pouvant ; décidément l'un ou l'autre ces motifs, la rallier faisceau de nervules, faute de raisons plausibles et fixes, je dus l'en isoler, et l'appelai disco-celhdaire (2) «Peut-être, plus tard, son départ de l'une des deux ner- vules, lorsc|u'elle sera incomplète l'autre extrémité, scra-t-elle d'un précieux secours dans ('Il est remarquer que les la coupes génériques nature part tenir celte nervule Tharmonie de ce système alaire, qu'elle par un dessin imitatif, lorsqu'elle n'existe pas, et que par un motif inexplicable, elle la dérobe pour la plupart du temps nos regards sous un épi d'écaillés^ ou sous une tache colorée d'une manière tranchée avec le fond pour la si nécessaire reproduit Franrv Tonifja.J'l 1'Pun*èndi JirieUeit tlel '/ Ei (r/i/jrt/ut/t'/-i/,r ,rfen/t(t/i/m.t â- JI/lt'/Hl7/{U//l Ât(i/i-r Pf/- (^)/:t/f,fiu f/i i/f.r.ioti.r y ïe'te /itttf viif i6 j j Jf /acf ''Inn , de /a Soc.Entonwloffùfue ih^J^rance' TomfJl.Pl.j3 ... groupe de ces insecles de la tribu des Satyrides ment de nombreuses eux, VArgé Galatea d'entre ; 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Ngày đăng: 06/11/2018, 23:35

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