DICTIONNAIRE UNIVERSEL D''''HISTOIRE NATURELLE V13, D''''ORBIGNY

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DICTIONNAIRE UNIVERSEL D''''HISTOIRE NATURELLE V13, D''''ORBIGNY

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DICTIONNAIRE UNIVEIiSEL m\mm iTURELLe RESUMANT ET COMPLETANT lous le;; faits présentés par complètes de Buffon, et les — les Encyclopédies, les anciens dictionnaires scientiliques, les Œuvres meilleurs traités spéciaux sur les diverses branches des sciences Donnant la description des êtres et des divers phénomènes de la nature, létymologie et la définition des noms scientifiques et les principales applications des corps organiques et inorganiques l'agriculture la médecine aux arts industriels etc.; naturelles; , , , , PAR Mf.SSIElRS ARAGU, AUDOUIN, BALÏDEMENT, BECQUEREL, BIBRON, BLANCHARD, BOITARD, DE BRÉBISSON, AD BRONGNIART, i; BROUSSAIS, BRULLÉ, CHEVROLAT, CORDIER, DECAISNE, DELAFOSSE, DESHAYES DESMAREST, J DESNOYERS, ALCIDE ET CH d'oRBIGNY, DOYÈRE, DUCHARTRE, DUJARDIN , DUMAS, DUPONCHEL DUVERNOY MILNE EDWARDS, EME DE BEAUMONT, FLOURENS, GERBE, GERVAIS, IS GEOFFROY ST.-HILAIRE, HOLLARD, DE JUSSIEU, DE LAFRESNAYE , LAURILLARD i.EMAIRE, LÉVEILLÉ, LUCAS, MARTIN ST -ANGE MONTAGNE, PELOUZE, PELTIER, C PRÉVOST, DE QUATREFAGES, A RICHARD, RIVIÈRE, ROULIN SPACH, VALENCIENNES ETC , , , , , DIRIGÉ FAR M CHARI.ES D'ORBIGNIT, Et enrichi d'un magnifique Atlas de planches gravées sur acier TOME TREIZIEME PARIS CHEZ LES ÉDITEURS MM RENARD, MARTINET ET C m F ET HOTEL Blf.XO\', (quartier de rÉcok-dc-aédefinc i ET CHEZ l>A!^GL01S Rue Je ET LECLERCQ, hi | Harpe, 81 mêmes maisons ' , c\}ti VICTOR MASSS, Place de l'Ecole de-Mcderine £ Û\\c\\t\sen 4849 , n f cipỵig , ! IjIStb DES ABREVIATIO^iS EMPLOYEES DANS CET OUVRA(JE (Les abréviations en petites capitales placées au iniliquent la Acal grande commencement de chaque classe la(|iielieil appartient article DICTIONNAIRE UNIVERSEL D'HISTOIRE NATURELLE VAIVIDE Vanda — Genre de bot va famille des Orchidées, de la tribu des dées, laquelle il la Van- donne son nonn, formé par M Robert Brown Botan Beg., tab {in 506) pour des plantes herbacées, épiphytes etcaulescentes, fleurs brillantes, indigènes des Indes orientales, dont certaines avaient été décrites par Linné comme des Epidendrum L'espèce sur laquelle le genre a été basé est le Vanda Roxburghi Rob Brown M Lindiey a voisines, par leur aspect général et par Linné leurs caractères, des genres Torenla Bonnaya Link et Otto Elles se distinguent du premier par leur calice court, presque égal, du second par leurs filaments antérieurs qui portent une anthère Dans sa révision monographique des Scrophulariacées (mDG Prodromus,\Q\.X, p 412), M.Bentham ne décrit pas moins de trente-deux et espèces de Vandellies, dont cinq imparfai- 215) dix espèces de Vanda, parmi lesquelles quelques unes sont cultivées dans les serres a Orchi- tement connues Ces espèces sont divisées par lui en cin^ sections: a Toreniodes; b Titlmannia; c Ilyogcton ; Numularia; dées, cause de la beauté de leurs e décrit (Orc/tỵd., p fleurs Ellobum C'est la dernière de ces sec- tribu de la famille des Orchidées, formée par Vandellie diffuse, Vandellia diffusa Linné, petite plante annuelle, couchée, très rameuse, qui est indi- M Lindiey quée (D VA\DÉES Vandeœ bot tions qu'appartient G.) pu — Grande 135), et dans la- {Orchid., p quelle entrent des genres très nombreux de et la comme croissant la fois Madagascar communément dans l'Amérique tropicale plantes épiphytes ou terrestres, tantôt pour- C'est le Caa-Ataica de Pison D'après vues de pseudobulbes cock, sont surtout celles (ce M Marlius, etc., elle est Han- amère, mu- de l'Amérique), tantôt caulescentes (ce sont cilagineuse, purgative, employée en décoclion surtout celles de l'Asie), distinguées princi- dans palement par leur pollen céracé Ces Orchidées, de formes très diverses, croissent en très grande majorité dans les contrées inier- que dans les maladies du fournit le médicament connu sous le iKtm de Haimerada iropicales, et sont répandues en peu près égal en Asie tribu emprunte son Rob Br VAKDELLIE delli) BOT ru et nombre en Amérique Celle nom au genre Vanda (D Vandellia (dédié — Genre de la LÉpiDOPE par Linné (Maniissa, p 89), et dans le- des Indes orientales et de l'Amérique, fleurs axillaircs, oppcsées ou T lUI fasciculées, les fcupérieures souvent rapprochées en grappes, Guiane le VANDOfSE Able, le Lepidopus a?-gy?eu4deCuvier Van- quel sont comprises des plantes herbacées, foie Elle la (P D.) Trichiurus ensiformis de Vandelli, que famille des continues et intermittentes, VANDELLILS (du nom propre Vandelli) poiss.— Nom générique donné par Shaw au G.) Scrophulariacées, tribu des Graiiolées, établi les fièvres ainsi même Vuy (E Ba.) POISS.— Nom vulgaire d'une le plus dans les celle qui multiplie eaux douces de l'Europe, le Cyprinus leu- tiscusde Lin ILcuciscus vulgaris, Flemin.) (E.Ba.) *VA1\'ELLUS OIS.— Vanneau dans Liuué Nom latin du genre (Z G.) VAN VAN • VA\ESSE Vanessa{aom propre), ins.— Genre de Lépidoptères diurnes, créé par Fabricius (in IlUgcr Mag., III, 1808), adopté par tous les zoologistes, et placé par M Boisduval dans la tribu des Nymphalides, tandis que Duponchel en fait le type d'une tribu Les Vanesses ont les antennes aussi lonterminées par une massue allongée, ovoïde, jamais aplatie l'Inde Amérique en , en et Afrique Nous almana citerons aussi le Vanessa originaire de la Chine et qui a été figuré , de ce Dictionnaire, Insectes lé- l'atlas pidoptères, pi (E D.) *VAIVESSIDES Vanessidœ rigides, le corps, dans aussi dans particulière, celle des Vanessides gues que Le VuLCAiN, V Alalanla Linné Celte espèce, très commune en France, se trouvo ponchel ( — Du- ins Cat méth des Le'pidopt d'Eur 1844) a créé sous ce nom une , tribu de palpes en cuillère en dessous plus longs que la tête, convergents, Lépidoptères de la famille des Diurnes, et velus jusqu'au bout; tète plus étroite que qui ne comprend que le genre Vanesse ni creusée une fois : yeux pubescents le corselet; abdomen robuste; corselet très ; que plus court — Voy ce mot VA1\GA Vanga les ailes (E D.) — ois Genre de la inférieures et caché entièrement par la réu- famille des Lanidées, dans l'ordre des Pas- nion des deux bords internes, qui forment gouttière dans l'état de repos Les chenilles sereaux, caractérisé surtout bc'c robuste, très ont échancrée en la tête ment, cœur antérieurevelues ou et le corps garni d'épines rameuses d'égale longueur, premier et le excepté sur le dernier anneau, qui en sont dépourvus Chrysalides anguleuses la partie supérieure de la tête , arrondie, mais le plus souvent terminée par deux pointes ; le crochu, fortement denté dibule inférieure dos armé de deux ran- la soies raides Le genre Vanga indiqué par Buffon, mais définitivement établi et continent, et des ỵles les plupart de ces chrysalides sont ornées de pellent beaucoup celles des ou d'argent, et parfois même : dant elles vivent de préférence dans sinage des habitations, menades, les le voi- les jardins, les campagnes découvertes, proetc., Ils toutefois que les le et les endroits agrestes, excepté Vanessa prorsa, qui n'habite forêts froides et est vif et rapide On , humides Leur vol mais de peu de durée les autres Oiseaux avec férocité, de petites proies vivantes, vi- ventordinairement sur le Less., Lanius curvirostris pi enl 228), la , Gmel (Buffon, Le Vanga de Madagascar DESTRUCTEUR, V destructoT cap-gris commun des grandes On peut citer comme espèces du genre, Vanga a tète blanche, V leucocephala 273), de papillon est très la lisière rarement dans leur intérieur, et jamais dans les plaines et les champs cultivé's forêts, du monde; beaucoup sont ornées des plus riches couleurs L'Europe , d'après Duponchel et M Boisduval, en a douze, parmi lesquelles nous ne citerons que les trois principales Le Paon de jour , Vanessa lo Linné Ce rap- sont d'un caractère turbulent, acariâtre, attaquent trouve les nombreuses espèces de Va- nesses dans toutes les contrées mœurs Pies-Grièches se nourrissent etnesetrouventqu'accidentellementdansles grands bois l'ancien plus reculées de l'Inde et de l'Océanie, dont les taches d'or par caractérisé comprend des Oiseaux de Vieillot, gées de tubercules plus ou moins aigus; la toutes dorées Les espèces de ce genre ont chacune leurs mœurs particulières cepen- man- pointe, retroussée et aiguë sa pointe, commissures garnies de quelques ayant quelquefois par un comprimé, recourbé, très Nouvelle-Hollande; et {pi enl.^ le Vanga V chirrocephalus Less (ZooL de la Coq., pi Il), de la Nouvelle-Guinée, aux alentours de Dorey, ó les Papous ment Pilhoú la le nom- (Z G.) VANGLIER Genre de — Temm Vanguieria famille bot pb — des Rubiacées, sous- tout l'été aux en- ordre des ColTéacées, tribu des Gueltardées, La Belle-Dame, V cardui Linné Cette formé par Commerson (ex Juss Gênera planlarum, p 206) II comprend de petits arbres de Madagascar, des Indes orientales virons de Paris Vanesse, qui part presque sans interruption depuis le commencement du printemps et jusqu'à de l'été, est répandue dans des baies arrondies, cinq noyaux osseux, la fin toutes les parties du monde du cap de Bonne-Espérance, qui donnent comestibles chez certains d'entre «ux On eu VAN VAN connt aujourd'hui cinq espèces, parmi lesquelles la plus remarquable est Vanguie- le Vahl, indigène de Madagascar, culture l'a propagé dans les ỵles Mas- ria edulis d'ó la careignes et en Cbiue Ses fruits ont seur d'unepomme moyenne On gros- la mange les blets Les nègres devenus lorsqu'ils sont VA1\GL'ÏERA BOT ph.— C'est en G.) (D sont très friands tort que Persoon a ainsi modifié [Encheir., vol I, p 45&) le nom générique Vanguieria, Com(D G.) merson *VANIIALLIA — Ce genre de BOT PU fum si nom de Vanille espèces de ce genre qui recherché sous L'histoire des fournissent la Vanille le du commerce , a été longtemps enveloppée d'obscurité; et, même aujourd'hui, elle laisse beaucoup dé- fort sirer sous plusieurs rapports Swartz, ayant observé une espèce pulpe parfumée, avait supposé que c'était elle du commerce; nille il qui donnait l'avait la nilla aromalica Elle correspondait dendrum Vanilla, Lin Tous Va- nommée Va- les VEpi- auteurs de matière médicale et autres ont suivi Swartz et ; nous voyons aujourd'hui encore, dans des Schultes Ois (System., vol VII, p 18) se rattache comme synonyme au genre Bra- ouvrages de ganlia Loureiro, de la famille des Aristolo- venantdu Vanilla aromatica, Swartz Cependant cette espèce ne crt que dans l'Amérique méridionale et particulièrement au Brésil, tandis que le commerce tire surtout sa Vanille du Mexique A peine une faible quantité de Vanille préparée d'une manière particulière arrive-t elle du Brésil en Portugal Aussi M Lindley ( Orchid, pag 434) dit-il avec raison: ô 11 ne paraợt pas qu'au- G.) (D chiées *VAIVHALLIA bot cr.— Nom d'homme sous lequel L Marchand a décrit le Conoplea cylindrica Pers., dans l'énuméralion des plantes cryptogames du grand duché du Luxembourg (Bijdrag de natuurk Wellens (Lév.) Deei.,111, n» 3) VARIERA sous ce BOT PH — Le genre établi, nom, par Loureiro [Flor Cochinch., 690) pour deux plantes qu'il nommait Vaniera Cochinchinmsis et V Chinensis, est p rapporté comme synonyme auxElaloslemma (D G.) Forst VANILLE la famille FaniHa bot ph — Genre de des Orchidées, sous-ordre des Aré- Ihusées, formé par Swartz {Flor Ind.occident., vol 111, 1518) pour des plantes pag herbacées qui croissent en Amérique et dans l'Asie tropicale, soit dans les fissures des rochers, soit surtout en grimpant très haut sur les arbres ; leurs feuilles sont oblongues; en leurs grandes fleurs sont disposées et présentent épis, un périanthe folioles semun peu étalées; blables entre elles, dressées, un labelle luté au aptère, adné la colonne , plan , convo- sommet; une colonne assez droite, avec une anthère terminale, oper- culaire, qui renferme deux masses pollini- niques granuleuses Le fruit de ces plantes est une capsule très allongée et en forme de silique, parois épaisses et charnues publication toute récente, la commerce indiquée comme pro- Vanille du cune des Vanilles duBrésilformelasubstance connue dans le commerce; on peut présumer certainement que le Vanilla aromatica n'a aucun rapport avec les fruits qui sont dans le commerce » Au reste , cette espèce a les feuilles ovales-oblongues sessiles; ses campanule avec leur périanthe et le labelle lieu acuminé, relevé dans son mi- Quant aux Vanilles du Mexique, connue est Vanilla planifolia tab 538), dont , Andr {Dolan Reposit., acquiert une grande longueur en grimpant sur les arbres; dont les feuilles sont oblongues-lancéolés, planes, légèrement striées; dont les fleurs un peu obtuses, et le labelle gues, dressées, écbancré, crénelé, crispé, recourbé des deux côtés , relevé dans sou milieu de lamelles transversales dentées Ses fruits 1836 que graines petites Cette aussi nombreuses pulpe constitue le par- blanches- verdâtres ont les folioles du périanthe oblon- avec des plus la tige serres chaudes Dès attachées la Vanille a fecilles planes, la pèce qu'on cultive n'est pas ont folioles sont cylindracées et fort longues mée, qui, d'après M Splitgerber, funicules auxquels sont les d'une ligne nue, saillante; ses capsules courtes les acuminées, ondulées, acuminées, révolutées au sommet, Ces capsules, chez certaines espèces, renferment une pulpe délicieusement parfuautre chose que , fleurs vertes et blanches , , sont cylindracés et très longs C'est celte essuccès dans nos , M Morren, de en ayant fécondé les fleurs artificiellement, eo obtenu un grand nombcu Liège , YAN YAN d'une pulpe au moins aussi parfumée que celle qui nous vient du Mexique Depuis cette époque, di«le VANNEAU belles capsules remplies vers horticulteurs ont reconnu, non seulefiient qu'il est facile d'obtenirainsi la fructification de Vanille, mais encore que les la donne alors sont de qualité supéiieure.M Morren a même démontré par produits qu'elle l'expérience en Eu- possibilité d'établir la rope des vanillères d'un très bon rapport Vanille feuilles planes a été importée, La dans années, dans ces dernières de que les Iles l'archipel Indien, et c'est de l'Angleterre sont partis pieds qui ont servi gratifier les ces contrées de ce précieux végétal est très Il probable que c'est encore cette espèce qui fournit la plus grande partie de la Vanille Vanellus ois — Genre de familledes C/iaradridees du^rinceCh Bo- la naparte, de celle des Pressirostres de G Cu- de l'ordre des Échassiers; caracté- vier, et par un bec court, grêle, droit, comprimé, risé deux mandibules renflé l'extrémité des ; base du demi-bec supérieur très évasée la pur prolongement du le narines sillon ; longitudinales sillon nasal; des un un pouce ouvertes dans , des tarses grêles, médiocres ; touchant peine terre; des ailes aiguës, première rémige la queue médiocre, plus courte, les qua- la trième et cinquième les plus et le poignet longues, une Je l'aile armé d'un éperon corné et aigu Les Vanneaux sont des Oiseaux sociables qui vivent par troupes dans les terrains gras du commerce Néanmoins M Schiede a siLinnœa , vol IV p 573 ) -Ipux ( in et humides, sur les habitudes des espèces étrangères ne sont autres espèces dont les fruits seraient mêlés pas encore parfaitement connues dans de celles que possède l'Europe que nous yoyons en France par grandes bandes, fréquentent, les unes, les gnalé , le commerce ce sont : le ceux de la précédente; nommé Vanilla saliva, dans le pays Daynilla mansa, dont les feuilles sont oMongues, charnues, les fruits sans sillons, et le Vanilla sylvestris, feuilles oblonsjues lancéolées, et dont les capsules sont creusées de deux sillons Mais ces plantes sont imparfaitement connues, et la très dernière par- voisinage de l'embouchure des fleuves cueillies un peu avant leur ma- turité Afin de les empêcher de s'ouvrir, on les frotte d'huile de Ricin, ou autre On conserve ainsi leur péricarpe une certaine mollesse Ainsi préparées et séchées convenablement, ces capsules sont réunies par paquets de 50 GO, soigneusement envelop- pées et livrées ensuite au commerce.— Tout monde connt l'usage que ment de la pulpe de Vanille le font journelle les • con6seurs, les glaciers, les chocolatiers, etc etc Quant chenilles, les petits Colimaỗons, les aux propriộtộs mộdicinales qu'on attribuait est assez rare dans l'ancienne médecine, qu'on y ait recours aujour- d'hui (P *VA1VIILL0SM.\ BOT PU D.) — Genre pro- posé par Lessing {Linnœa, vol VI, p G30), «i conservé par M Erullicher {Gênera plan- tarum, n» 2204) comme sous-genre des Vernonia Schreb., de la famille dps Composées, tribu des , Vernoniacécs (D G.) , le frai des BaVers de terre qu'ils de toutes sortes et surtout les et qu'ils font sortir la plus grande adresse, de leur trou, en frap- pant le sol avec leurs pieds que les Vanneaux rendent de On peut dire véritables ser- vices l'agriculture, en purgeant la terre d'une foule de petits animaux nuisibles Ils ont pour habitude, lorsqu'ils sont repus, de se rendre dans des fossés ou des mares, sur les bords sablonneux des fleuves, les Bécasses, terre nent et, comme délaver leur bec souillé pai D'un naturel la fuite danger, ou très farouche, ils la pren- moindre apparence de vue du plus petit objet qui la la leur est suspect celte substance il le Ils recherchent, pour leur nourriture, les Arai- gnées, savent extraire avec Les capsules de Vanille destinées au com- merce sont maritimes, dans acs salins, les grèves traciens fouilles planes Si n'en est autres, les bords fangeux des prairies; les les Insectes Vanille il même pas de comme un la bords des rivières Celles-ci, ticulièrement est regardée par M Morren simple synonyme de les Toutes les fois qu'ils prennent leur essor, Vanneaux poussent ordinairement un petit cri Celui du Vanneau huppé consiste les dans les syllabes dix-huit syncopées et pro- noncées d'une manière brève La pèce a un vol vigoureux, même es- de longue haleine Elle l'exécute quelquefois de très grandes hauteurs Lorsqu'elle parcourt les prairies, elle le fait en voletant ou en se portant d'un YAN on endroit un Oiseau lulre dit BufTon fort gai, mouvement, cesse en mille faỗons en l'air; dans toutes YAQ par petits sauts «C'est il il ; est sans folâtre et se joue de par instants s'y tient même pl 6, t III), V Cayanensis G du pl gal C'e^t en février rient, et, celte putent que les Vanneau-x s'appaépoque, les mâles se dis- possession des femelles avec achar- la nement Leur nid, placé sur une herbes les ou dans les joncs peu élevés, est simplement composé de quelques brins d'herbe La ponte est de quatre six œufs, et l'incubation de En environ naissant pe- les sont assez forts pour suivre leur mère tits Lorsqu'ils ont acquis toute leur force et leur taille, ils se réunissent par bandes de cinq pour voyager cents individus six qu'ils font ordinairement vers Cuv (Buff., pl enl 836), Guiane la et le Vanneau tricolore, V 2o Espèces dont le pouce est peine les tarses réticulés, et les fosses ble, visi- nasales courtes , (Genre L'espèce unique de cette division est le Squatarole gris Squat, helvetica G Cuv., Tringa helvelica Gmel (Buff., pi enl 835), des pays tempérés de l'Europe Assez abondant en France et sur les côtes de la Hollande (Z G.) VAIV ce la fin d'octo- Vanneau pluvier, ou mieux Sqda- : tarole, Squatarola G Cuv.) - RHEEDIA formé avait , bot ph pour un arbre ce nom Linné, en adoptant Vanneaux, si difié son nom de la donnait il ce genre, a mo- (D G.) Vanlanea bot ph — Genre famille des Tiliacées, rapporté avec doute par M dans l'année peu connu très en Rheedia VA!ViTAl\ÉE on en juge par ceux que possède l'Europe, a lieu — Plumier Martinique, un genre auquel conséquent, assez recherchés, leur chair étant généralement estimée lieux fois tricolor Cuv.), de Java la les Le Vanneau Horst {Tringa macropterus G de mue, dans — 236), Tringa Senegala Gmel du Séné; bre Ces Oi.seaux sont alors très gras et, par La Annu:, petite élé- vation, dans les prairies, dans vingt jours — Le Vanneau GRivEiÉ, V albicapillus YiW {Gai dos Ois., ventre le de Brésil et en haut ou sur le côté, et les ailes dirigées perpendiculairement , et aucun Oiseau ne caracole et ne voltige aussi lestement » les situations, d'Egypte Endiicher [Gen plant., n La plupart des Vanneaux faisaient partie du genre Tringa de Linné; Brisson les en 5383) au sous-ordre des vraies Tiliacées, tribu des Gréwiées Il a été formé par Au- sépara, ce qu'ont imité depuis les ornitholo- pour Guiane, fleurs pentapétales, polyandres, qu'il a nommé Vantanea Guianensis On n'en connt pas le fruit (D G.) gistes G Cuvier, prenant en considération du pouce, l'étendue la disposition qui recouvrent les tarses les , des écail- et la largeur blet {Guian., vol II, p 572, tab 229) un arbre de VAPEUR VAPPON des fosses nasales, a introduit dans le genre Vanneau deux tribus, que les méthodistes modernes ont converties en genres Nous donc les Vanneaux comme il diviserons suit : le pouce est très apparent, ciendues jusqu'aux deux tiers du — Voy météorologie Vappa ms.— Latreille nom un Pacbygaster Meigen {voy ce mot), créé précédemment VAQUETTE bot ph A : Vanneau, Vanellus Briss et.Auct.) cette division appartiennent le (F D.) — Nom vulgaire que porte VArum maculalum dans certains bec de nos départements (Genre (IVouu 1804) désigne genre de Diptères de la famille des Notacanthes, et correspondant sous ce tarses écussonnés, et les fosses nasales 1rs MÉTÉOR Dict d'hist nat de Déterville , celui des 1" Espèces dont la Van- VAQUOIS Pandanus de la (D G.) bot ph — Genre famille des Pandanées laquelle il — Le VanKeau a donne son nom, formé par Linné fils (Swpplem., p G4 et 424) qui le range dans la Diœcie monandrie du systốme sexuel Son nom franỗais est dộrivộ de celui de Vacoua que ces végétaux portent dans l'Océanie Les végétaux dont ce genre est composé crois- riEDs JAUNES, V /?(Ji;t/>esSavig {Egypte, Ois., sent naturellement daus les parties chau- KEAC HUPPK, V cristalus Mey (Buff., pi 242) de tonte l'Europe mais principalement de la Hollande Parm les espèces clrangèrcs, nous citerons le Vanneau a enl — : ïCHARFK, V cinctus Less {Zool de la Coq., pi 415), des Malouines VAQ VAR de l'Asie et de l'Océaiiie Leur tronc est arborescent, mais forméd'un tissu peu consis- porte de ces pays, en Europe, le café et la «les tant; de sa portion inférieure, même une as- sez grande hauteur au-dessus du sol, parlent des racines volumineuses, qui ressemblent souvent de grosses cordes; leurs feuilles allongées, linéaires, lancéolées, embrassantes leur base, généralement bordées de dents le plus souvent épineuses très piquantes, sont disposées en spirales parfaitement manifestes ; leurs fleups sont dioïques, de spathes souvent colorées; accompagnées les mâles for- ment un spadice composé, dans lequel des étamines, très nombreuses et serrées, recouvrent entièrement l'axe de l'inflorescence; c'est regardait chacune de ces parce qu'il étamines comme une fleur distincte et sépa- que Linné fils a classé les Pandanm dans la Diœcie monandrie Les fleurs femelrée de ces végétaux forment un spadice simon observeun grand nombre les ple dans lequel de pistils très serrés dont les ovaires, libres ou soudés par groupes, renferment dans leur loge unique un seul ovule ascendant, et supportent des stigmates sessiles, distincts Le fruit consiste soudées entre dans des drupes fibreuses, elles par groupes, et renfer- mant, dans un noyau osseux, uniloculaire, une graine unique, lest membraneux plupart des autres denrées coloniales Celle un arbre qui s'élève de 18 20 mètres Sur les pieds jeunes, ses feuilles ont mètres de long sur décimètre de large; elles restent au-dessous de ces dimensions dans les pieds adultes Le VAQUOia comestible, Pandanus edulis Pet -Th., est un espèce forme arbre spontané Madagascar, dont nes sont bonnes manger Ses en grappes les grai- fruits sont (P D.) — VAR.IIRE BOT PH L'un des noms du genre Veralrum Voy vératre VARAIV Varanus ( Les Arabes nomment Ouaran l'espèce d'Egypte; ce nom, francisé et latinisé, a fourni les dénominations génériques), rept Merren désigne, sous le nom de Varan, un genre de Sauriens, dont MM franỗais — Duméril Bibron ont et fait le type de leur Varaniens [voy ce mol) Les famille des Reptiles que comprend ce genre ont élé, par dans des groupes parmi les Tupinambis par Daudin et Oppel ; parmi les Monitor, par Cuvier et M Gray ; ils rentrent dans les genres Varanus et Psammosawus de M Filzinger, et dans les Psammosaurus, HydrodiCférenls auteurs, placés divers, et, par exemple, saurus et Polydœdalus de Wiegmann Les MM Wagler et caractères génériques indi- qués par MM Pandanus ỗdoragrand arbrisseau ou petit arbre dont le tronc simple s'élève ou mètres et porte une cime arrondie Il crt suivants Écailles enchâssées cơté les unes Dos de la aux Indes, dans l'Arabie, dans Un sous le cOu en avant de la poitrine rOcéanie Ses feuilles linéaires sont garnies La de dents épineuses sur leurs bords et long polygones, très rarement bombées, et pres- de leur côte médiane Son spadice mâle est de ou décimètres, de couleur orangé que toujours une de ces plaques, circulaire et un peu plus dilatée, existe sur le milieu du crâne Les espèces qui vont souvent dans l'eau sont pourvues d'une poche ou espèce remarquable par d'évent qui sert l'entrée des fosses nasales L'espèce sur laquelle ce genre a été fondé est le Vaquois odorant, lissitnus Lin fils, la Chine et le ovoïde, sessile, pendant Ses fruits forment, par leur réunion, une masse ovoïde, longue foncé Cette espèce est l'odeur suave et très spadices mâles, forte qu'exhalent ses : des autres dans la peau, et entourées d'une annulaire de très petits tubercules série et Duméril et Bibron sont les pli queue plus ou moins tranchant lête des dont la Varans est recouverte de plaques position dépend de la qu'un seul fragment suffit pour parfumer agréablement une chambre pendant longtemps Aussi le des ouvertures nasales elles-mêmes cultive-t-on pour ce motif dans les pays chauds Le Vaquois utile, Pandanus utilis Bory, est indigène de Madagascar et de les et qui est telle néral, les espèces position En gé- du genre Varan sont ro- bustes; et, après les Crocodiles, ce sont Sauriens qui atteignent l'ỵle les plus granLeur taille est élancée, leur tête a la forme d'une pyramide quadrangulaire; leur cou est ailongéetarrondi; aussi leur q^ueue très développée et de figure plus Bourbon On le cultive communément l'ỵle de France et aux Antilles, surtout en clơtures , et pour ses feuilles dont ou fait des nasses dans lesquelles on trans- des dimensions ou moins triangulaire Leurs dents varient beaucoup de forme; elles sont de 20 ix 2i VAR VAR en bas, et de 28 30 en haut Aucun Varan n'a de porcs cruraux Le nombre des espèces décrites s'élève douze: quatre sont de l'Asie, trois de l'Afrique, quatre de l'Océanie; on ignore la patrie de la douzième Parmi ces espèces, comme Varan a DEUX BANDES, VaranusbivUtatus, Dum., Bib nous citerons, exemple, le {Tupinambis biviUatus, Kuhl et Boié Monitor deux rubans, Cuv.), qui appartient la lionacées en celui de Varennea L'espèce unique qui forme ce genre est un arbre du Mexique, auquel le botaniste espagnol avait , donné le nom de Fiborquia polyslachya, et qui est devenu, par suite de ce changement, Varennea polyslachya DC le des Varans aquatiques, et qui est figuré dans l'atlas de ce Dictionnaire, Reptiles, pi 4, fig C'est le type du genre Hydrosaure de Wagler Le dessus du corps est brun ou noir, et une belle teinte jaune de chaque côté du cou, un long dessine, ruban qui se prolonge jusqu'à l'œil, caractère que rappelle le nom spécifique Cette espèce se trouve Java, dans les ỵles Philippines et aux Moluques (É Ba.) *VARA1\IEIVS — Famille G.) (D VARGASIE Fargasia{Qom d'homme) ; section rf que-Ortega avait donné un genre mal connu de la famille des Légumineuses-Papi- PH.— De Candolle BOT a établi, sous ce nom, dans la famille des Composées, tribu des Sénécionidées, division des Galinsogées, un genre voisin par ses caractères des Galinsoga Ruiz et Pavon, mais distinct par les écailles de son ses involucre aigrettes rayon, etc le presque bisériées, par au disque et au Le type unique de ce genre est différentes Farg'asja Caracasana qui, comme DC, herbe annuelle l'indique son nom spécifique, crt Caracas de Sau- Bertero avait proposé {ex Spreng Syst., MM Duméril et Bibron, deux genres Varan et Héloderme La caractéristique est indiquée dans l'article Sauriens, page 383 du tome XI de 283 et 888) un genre de même Guillemin rapportait avec doute aux Banisleria, et que M Endlicher rattache avec hésitation, comme synonyme, au genre riens et REPT établie par comprenant les ce Dictionnaire VAREC ou (E VARECn bot vol [voy ce dont on et , et fait la fa- le rivage , usage, après, certaines prépa- rations, soit pour engraisser les terres, soit pour fabriquer de VAREC A ce nom BOT la Soude PH — Le genre formé sous par Roxburg {Flor ind., édit Wall., vol H, p 445), est rattaché avec doute par M Endlicher {Gen plant., n 5048) comme synonyme au genre Pentaloba Lour., classé la suite de la famille des Violariées Quant au genre Vareca, formé par Gartner (De Fruclib., vol 290, tab 60) pour un végétal de Ceylan dont on ne connt que le fruit et auquel le célèbre carpoI, p allemand avait donné le nom de Vareca zeylanica,U Endlicher le range avec hésitation dans la famille des Passiflologiste rées, la suite florées de la tribu des vraies Passi- (D, G.) VAREXIVÉE Varennea (nom d'homme) BOT PB — De Candolle a cru devoir changer {Mémoire sur les Légumineuses, XIV; Prodromus, vol II, p 522) le nom de Viborquia, (U "VARI MAM kis, \e G.) — Nom d'une espèce de Ma- Lemurmacaco,L VARIATIO\S notamment aux Fucus mot) qu'on ramasse sur famille des Sapinda- la cées vulgaires qu'on donne, sur les côtes de l'O- mille des Algues p Thouinia Poit., de Ba.) cr.— Noms céan, toutes les plantes marines de II, nom que F MAKI (E.Ba.) variétés, et bot — L'influence des circonstances extérieures sur plantes se manifeste fréquemment par les modifications qu'elle détermine dans les leurs dimensions, leur couleur, leur aspect, leur port, etc Ces modifications sont, en général, tellement superficielles qu'elles dis- paraissent avec les circonstances de sol, d'exposition, de lumière, d'humidité, etc., qui leur ont donné naissance Elles consti- tuent alors de simples Fariations sans importance réelle et qui, nées sous une cer- taine influence locale, disparaissent aussitôt que cette influence cesse de se Dans d'autres circonstances, faire sentir l'action des causes extérieures qu'il est possible d'apprécier, ou de causes obscures, inconnues même, amène dans les plantes des modifications plus profondes et plus tenaces la Il en résulte formation des Variétés Mais, parmi celles- ci, il existe des différences marquées en rai- son de leurs divers degrés de persistance Le plus souvent les modifications a que la plante subies et qui caractérisent une Variété VAR VAR dans son espèce , moyen vées au peuvent bien être conserdes boutures et des mar- cottes, ces niudes de multiplication n'étant pas autre chose qu'une extension de la plante même qui a été bouturée ou marcottée, mais ne se tiansniettent pas par la voie des semis Ainsi l'on conserve facilement et l'on elles multiplie dans les boutures et des marcottes, fleurs doubles, moyen jardins, au feuilles des variétés les panachées, etc moyen Mais, pour elles, les graines sont un de multiplication inefficace ou, du moins, extrêmement irrégulier Il est, au contraire, des variétés beaucoup plus persistantes et qui se reproduisent régulièrement par les semis Ces variétés, beaucoup plus Oxes que précédentes, et dont nos jardins potagers les renferment tant et de si utiles exemples, ont été distinguées par le nom de Races (Slirpes) Cette distinction de trois degrés dans les changements que peut subir le type d'une espèce, semble basée sur une observa- tion exacte des faits; dans tous les cas, elle d'un usage commode Malheureusement est elle n'est pas toujours cile, d'une application fa- parce qu'il n'existe pas de limites pré- — L'Homme, nus eu regard du Règne , sidérations de la niéthode zoolo^ique prendre genre le néral des Animaux En de l'autre C'est surtout relati- que ces dernières éprouvent journellement les les botanistes plus grandes série la , et lui effet, l'Homme, par son organisation, en un mot par son anatoraie et sa physiologie, est un animal Le plan de son tion , organisme le place dans le type des Verté- brés, et le développement de ce ganisme en fait même or- un Mammifère Parmi les Mammifères il se range, par sa génération, au nombre des Mouodelphes: parmi les Monodelphes, au nombre des Onguiculés pour, H vus de trois sortes de dents melles pectorales et Singes, le la ma- a les verge pendante des système dentaire des Singes de l'ancien continent; il se rapproche plus en- core des Orangs et des Chimpanzés par l'ab- antérieures vement C'est ce qu'ont fait la par ses fonctions de nutrition et de rela- sence de queue, et les races com- et les termes suivants d'un proprement , système gé- le de marquer une certaine distance entre dites variétés dans de placer ce genre en tête de côté, les Homo plupart des naturalistes, en se conteniant cises entre les variations et les variétés entre ani- se rattache d'une manière si natuaux groupes supérieurs de celui-vi, qu'on doit, en s'en tenant aux seules con- mal relle , la la ressemblance des mains direction des des poils bras, etc Mais côté de ces analogies et des rapprochements incontestables qui s'en déduisent, il reste des différences impor- difficultés On combien doit être difficile, dans un grand de reconntre si des plantes très voisines, dont les formes se conservent par les graines, sont des espèces distinctes appréciées leur juste valeur cas, donc par rappeler les caruclères du genre Homme; jetons un coup d'œil appréciateur ou simplement des races différentes d'une l'histoire il nombre de mờme conỗoit, en elTel, sans peine Toutes les fois qu'il est imremontera l'origine de ces formes espèce possible de végétales, la solution des difficultés qu'elle» soulèvent, repose sur la uniquement sur d'appréciation des observa- faculté teurs VARICES MOLL — Ce mot qui s'élèvent la qu'on n'a peut-être pas toujours Commenỗons sur cette caractộristique, car en abordant de ce genre considéré dans sa diversité, nous avons besoin de le conntre comme unité, comme création spéciale, et de savoir sa vraie place dans le système de Nature Nous devons tenir compte ici de deux ordres de caractères, des caractères la D.) corporels et des caractères psychologiques employé bourre- Malgré l'harmonie qui existe nécessairement entre l'organisation d'un être et son acti- surface de vité, ce n'est cependant ni dans les formes, (P est en conchyliologie pour désigner lets saillants le tact ei tantes, les dans l'organisation que se révèlent com- certaines coquilles et qui varient dans leur ni dispositions et leurs rapports plètement son caractère essentiel, non plus LUSQCES , TRITON »VARICOilHI\US nez), poiss — Voy mol(E Ba.) {varix, varice; p.'v, — Genre de Cyprinoides(Rtippell, Alus Senck., Il, 1835) (E B.\.) VAKIÉTÉS DE L'ESPÈCE DltMAlNE que la pèces ; distance qui le sépare des autres es- et les caractères tirés de l'activité sont d'autant plus importants que cette activité s'élève, s'agrandit davantage, gage plus des circonstances du e.t se monde dé- exié- ... la Acal grande commencement de chaque classe la(|iielieil appartient article DICTIONNAIRE UNIVERSEL D'HISTOIRE NATURELLE VAIVIDE Vanda — Genre de bot va famille des Orchidées, de la tribu des... Afrique Nous almana citerons aussi le Vanessa originaire de la Chine et qui a été figuré , de ce Dictionnaire, Insectes lé- l'atlas pidoptères, pi (E D.) *VAIVESSIDES Vanessidœ rigides, le corps,... végétaux dont ce genre est composé crois- riEDs JAUNES, V /?(Ji;t/>esSavig {Egypte, Ois., sent naturellement daus les parties chau- KEAC HUPPK, V cristalus Mey (Buff., pi 242) de tonte l'Europe

Ngày đăng: 06/11/2018, 23:11

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