Annales des Sciences Naturelles, Troisième série, T14, Botanique, 1850

455 84 0
Annales des Sciences Naturelles, Troisième série, T14, Botanique, 1850

Đang tải... (xem toàn văn)

Tài liệu hạn chế xem trước, để xem đầy đủ mời bạn chọn Tải xuống

Thông tin tài liệu

ANNALES DES COMPRENANT LA ZOOLOGIE , LA BOTANIQUE , L'ANATOMLE ET LA PHYSIOLOGIE COMPARÉES DES DEUX RÈGNES ET L'HISTOIRE DES CORPS ORGANISÉS FOSSILES; RÉDIGÉES POUR PAR M ET PAR MM AD LA ZOOLOGIE MILNE POUR EDWARDS LA , BOTANIQUE BRONGNIART ET J DECAISNE BOTANIQUE TOME QUATORZIÈME PARIS VICTOR PLACE DE MASSON, L'ÉCOLE-DE-MÉDECINE, 1850 17 ANNALES DES PARTIE BOTANIQUE RECHERCHES L'ACCROISSEMENT Par Transactions VÉGÉTAL le professeur de la Société horticulturale H.-F ET LA GREFFE LINK de Prusse, 10e livraison, 850.) La physiologie végétale ne se trouve pas encore plus avancée de nos jours que ne l'était la physiologie humaine, il y a plus de deux siècles A cette époque, on ignorait encore la circulation du de l'air, et sang ; on croyait même que les artères renfermaient De même on ne que le sang ne s'y trouvait qu'accidentellement sait pas encore aujourd'hui quelles sont les parties internes de la dans lesquelles s'opère l'ascension de la sève; les uns pensent que c'est dans les trachées et autres vaisseaux analogues, tandis que d'autres soutiennent que ces vaisseaux ne renferment plante autre chose que de l'air, et que la sève monte par le tissu cellulaire Telle est la discordance des opinions sur un des points les plus importants de la physiologie végétale Quoi qu'il en soit, le H.-F LINK — RECHERCHES éviter ne conntre ces doit serait-ce pour que théories, praticien de se laisser induire par elles en erreur Je ne considère ici que les plantes dont la tige, les feuilles et les fruits offrent des articulations, et que j'appelle Phanérophytes, les Lichens, est claire et manifeste structure toute leur ; que parce les Algues et les Champignons se trouvent exclus de cette catéOn gorie, parce qu'on n'y reconnt aucune articulation distincte végépeut les désigner par le nom de Cryptophytes, c'est-à-dire, taux dont toute l'essence est cachée J'adopterais la distinction bien connue, de Phanérogames et de Cryptogames, si les Mousses pas pourvues d'organes sexuels manifestes, lesquels manquent aux Fougères, dont la structure est néanmoins beaucoup plus parfaite ; ou bien j'aurais admis la distinction de végétaux vasculaires et de végétaux cellulaires, si les Mousses, bien n'étaient que munies d'organes sexuels parfaits, n'étaient pas dépourvues de vaisseaux C'est par les Phanérophytes qu'il convient de aux Palmiers des commencer; il n'est pas permis d'appliquer conclusions fondées sur l'examen des Algues , pas plus que des comparaisons analogues entre le Lombric et l'Aigle Or les Phanérogames sont très caractérisées , en ce que presque toutes leurs parties se composent de cellules membra- d'établir neuses, globuleuses ou polyédriques, ellipsoïdes ou cylindriques, ou prismatiques, contenant des sucs ou de l'air C'est en quoi elles diffèrent très notablement des animaux, chez lesquels les parties principales du moins ne se composent pas de cellules de cette nature A la vérité, on a découvert une structure cellulaire dans beaucoup de parties animales; on présume même, et, ce n'est pas sans raison, qu'à l'Origine, toutes les parties des animaux,sont formées de cellules Mais, indépendamment de cette, opinion purement hypothétique, il suffit de regarder au microscope le tissu cellulaire animal, savoir ; la peau, les veines et les fibres musculaires, et l'on ne tardera pas d'être convaincu que toutes ces parties, du moins l'état de leur parafait développement, offrent une structure uniforme, le plus souvent fibreuse, tandis que le végétal, soit jeune, soit adulte, reste toujours distinctement celluleux SUR L'ACCROISSEMENTVÉGÉTAL ET LA GREFFE Donc, pour juger de l'accroissement végétal, il est indispensable de commencer par l'étude de l'accroissement et de la multiplication des cellules, A_ cet effet, les plantes ou parties qui croissent promptemept sont les meilleures, parce que les différences s'observent le plus facilement, Le moyen le plus facile et en même temps le plus simple est de poser des bulbes sur des, verres remplis d'eau ; dans ces circonstances, et l'aide d'un traitement convenable, les bulbes, comme en sait, ne tardent pas pousser des racines d'une longueur considérable, en même temps qu'ils produisent, mais moins promptement, des tiges et des fleurs, Je vais exposer ici spécialement une de mes expériences de cette nature, La fibre radicale d'une Jacinthe ayant acquis la longueur d'environ un pouce, j'y fait des marques, une ligne de distance les unes des autres., avec du bleu de-Prusse, couleur qui résiste le mieux l'action de l'eau, et qui ne détériore pas les jeunes racines Au bout de quelques jours, la racine avait atteint la longueur de trois pouces, et j'ai vu que la partie inférieure, partir du bulbe jusqu'à la distance de dix lignes, ne s'était aucunement allongée, et qu'il en était de même de l'extrémité conique de la racine, extrémité dont la longueur se montait environ une ligne ; l'allongement n'avait donc eu lieu que dans la partie comprise entre la base et l'extrémité, et qui mesurait environ deux lignes de long La figure 1, planche 1, donne le croquis de cette fibre radicale allongée : en a, la partie qui n'a pris aucun accroissement; en b, la partie adjacente ; en c, la partie déjà allongée ; en d, la partie qui touche cette dernière ; en e, l'extrémité radicellaire Je passe maintenant à.l'examen des changements subis par les cellules par suite de l'accroissement; le grossissement est de 315 fois en diamètre La partie supérieure et inaccrescente de la fibre radicellaire (représentée en a, fig 1) est rendue par la figure 2, même planche, Cette portion se compose de cellules parenchymaires, unies bout & bout et contractées aux points de jonction, La portion adjacente, qui correspond, la portion b de la figure 1, H.-F LINK RECHERCHES est représentée fig de la même planche ; dans le haut, elle se cellules de la portion aux semblables de cellules courtes, compose inaccrescente, tandis que les cellules inférieures sont notablement est encore plus concellules des Cet allongement allongées plus sidérable dans la portion c de la figure 1, reproduite en figure h, même planche La longueur des cellules diminue dans la partie qui correspond la portion d de la figure 1, et qui est représende la vers l'extrémité tée, grossie, fig 5, même planche; radicelle (e, fig 1; grossie, fig 6, même planche), les cellules deviennent égales Il suffit de figurer les cellules de la circonféne sont pas rence de la radicelle, car les cellules de l'intérieur plus longues ; toutefois leur diamètre est plus considérable, ainsi qu'on le voit en figure 4, o,, où j'ai représenté les cellules intérieures de la portion rendue par la figure h En figure 6, on voit au centre de la radicelle les cellules longues et étroites qui s'étendent depuis la base de la radicelle jusque vers son extrémité, mais sans pénétrer dans celle-ci, qui constitue ainsi une partie distincte du reste Entre ces cellules longues et étroites du centre de la fibre radicellaire sont situées les trachées, qui finissent déjà quelque distance de l'extrémité radicellaire de la radicelle, ou, pour mieux dire, son accroissement, provient donc, en premier lieu, de l'allongement des cellules Il est curieux que la longueur des cellules dans la portion a soit la longueur des cellules de la portion c, peu près L'allongement dans le même rapport que la longueur des portions accrues ne peut pas avoir mais, lui seul, cet allongement car les cellules de la portion accrue ont produit l'accroissement, dû être engendrées avant de pouvoir s'allonger Or l'allongement ayant procédé de la portion située au-dessus de l'extrémité radicellaire ou du commencement de cette extrémité même (car il n'est pas facile de déterminer exactement les limites de l'accroissement), c'est aussi dans ces parties qu'ont dû se former les nouvelles cellules L'accroissement des fibresradicellaires s'opère donc peu près de la même manière que l'accroissement des ongles et des poils des animaux ; ces parties ne sont nourries qu'à leur base, et leurs extrémités sont sans cesse poussées en SUR L'ACCROISSEMENT avant VÉGÉTAL retranche ET LA GREFFE la pointe des fibres radicellaires, pas de crtre, et il en arrive de même lorsque ces pointes sont écrasées ou mutilées de quelque autre manière ; dans ces cas, elles pourrissent facilement; aussi fait-on très bien Lorsqu'on elles ne continuent de couper les extrémités des racines lorsqu'on transplante L'extrémité de la racine est une partie très remarquable du végétal Elle se fait remarquer par sa forme conique et par sa coloration moins intense, et, l'intérieur, elle est très caractérisée par l'absence des vaisseaux et du tissu allongé qui accompagne presque toujours les trachées et les vaisseaux poreux ; ce caractère n'a inféL'extrémité pas été signalé jusqu'aujourd'hui rieure de l'extrémité radicellaire, figurée planche 1, figure 6, se compose de cellules anguleuses assez grandes et contenant des amas de granules globuleux, granules qui sont de la fécule, parce que l'iode les colore en bleu Dans les extrémités radicellaires des Jacinthes que j'ai dans les extrémités examinées, radicellaires il en a toujours été ainsi ; mais d'autres plantes, ainsi que dans les cellules de la partie supérieure des radicelles des Jacinthes, les granules que contiennent les cellules sont colorés en brun sont arronpar l'iode Les cellules des extrémités radicellaires dies ou carrées, plus ou moins grandes, quelquefois plus larges que longues, et leur pourtour externe il se trouve toujours des cellules qui se détachent et sont remplacées par d'autres qui se appelle l'excoriation leur tour, d'où résulte ce qu'on des extrémités radicellaires détachent Dans la Jacinthe, ces cellules externes sont longues et étroites (fig 6, e), mais dans beaucoup d'autres plantes elles sont plus ont cru que courtes et plus étroites Beaucoup de physiologistes servent pomper dans le sol les sucs nourriciers, et, par cette raison, De Candolle les désigne par le nom de spongioles ; mais il résulte des excellentes observations les extrémités radicellaires (Linnoea, 1837, p 609), qu'il n'en est point ainsi; car radicellaires étaient exposées des plantes dont les extrémités même lorsqu'on eut l'air continuaient crtre avec vigueur, d'Ohlert retranché les pointes des racines la cire cacheter, pourvu que et recouvert la partie les plaies avec de supérieure des fibres 10 H,-F, LINK — RECHERCHES de la terre dans ou l'eau dans de radicellaires se trouvât plongée où comlà Il est de humide remarque que précisément digne vaisseaux les aussi commencent la mence surface absorbante, avec leur tissu cellulaire ambiant, J'ai dit plus haut que les granules des cellules de la pointe radicellaire sont colorés en bleu par l'iode, que par conséquent ils se composent de fécule, tandis que les granules des autres cellules des fibres radicellaires sont colorés en brun par l'iode On trouve très fréquemment, dans les cellules des plantes, des fécule des de le de volume grains cette nature, granules depuis jusqu'à un volume beaucoup moins considérable, tantôt par amas, tantôt épars ; ordinairement ils sont blancs, souvent aussi ils sont ou jaunes, ou verts, et souvent c'est leur présence qu'est due la couleur du suc des cellules, En général, la chlorophylle, c'est-à-dire, la couleur verte, si fréquente dans le règne végétal, n'a pas d'autre origine Parfois ces granules cellulaires rouges, offrent une cavité interne bien manifeste, et c'est ce qui les a fait considérer comme des cellules par plusieurs auteurs, d'où sont résultées de graves erreurs Dans les cas où ils sont groupés en masse dans les cellules, on les voit distinctement enveloppés d'une membrane particulière, et alors ils constituent un globule régulier La place qu'ils occupent sur les parois des cellules n'est rien moins que déterminée, ainsi qu'on peut le voir sur toutes les figures de la planche Même en admettant qu'ils appartiennent la catégorie des cellules, il faut néanmoins les distinguer des cellules qui les contiennent et dont se composent les végétaux Les feuilles, du moins celles qui sont longues, étroites et engainantes , croissent de la même manière que les fibres radicellaires J'ai fait représenter un essai de cette nature dans mon Anatomie des plantes, pi 1, J'avais marqué une jeune feuille d'Amaryllis formasissima sur des points situés quatre lignes d'intervalle les uns des autres, La marque inférieure se trouvait également quatre lignes de distance de la base de la feuille dans le bulbe Au bout de deux mois, l'interstice inférieur avait acquis la longueur de h pouces et SUR L'ACCROISSEMENT VÉGÉTAL, ET LA GREFFE 11 lignes , l'interstice suivant ne s'était allongé que de lignes 1/2, et les autres interstices n'offraient aucune augmentation en longueur Par conséquent, l'accroissement le plus considérable avait eu lieu dans la partie inférieure de la feuille, immédiatement au-dessus de la partie écailleuse du bulbe, et la partie supérieure de la feuille avec son extrémité avait été pour ainsi dire poussée en avant, comme l'extrémité radicellaire C'est donc dans la portion inférieure de la feuille qu'il faut chercher les cellules le plus récemment engendrées ; en effet, on y trouve, immédiatement au-dessus du plateau du bulbe , qu'on reconnt facilement ses faisceaux vasculaires, une couche composée d'un grand nombre de cellules plus larges que longues, polyèdres, de grandeur inégale, amassées irrộguliốrement, remplies ỗ et l de petits granules, que l'iode teint en brun et non en bleu Au-dessus de cette couche , dans la feuille, ainsi qu'au-dessous d'elle dans le plateau du bulbe, se montrent des cellules beaucoup plus volumineuses, pas plus larges que longues, polyèdres, remplies de gros grains de fécule La couche de petites cellules transversalement allongées est donc certainement la couche la plus récente, parce que c'est de cet endroit qu'a procédé l'accroissement de la n'est feuille L'extension des cellules de ces feuilles d'Amaryllis pas beaucoup près aussi considérable que dans les fibres radicellaires de la Jacinthe , et l'accroissement s'y opère beaucoup plus lentement, Un fait remarquable qu'offre cet accroissement consiste dans la transmutation des granules cellulaires en grains de fécule, et, où la feuille verdit, en chlorophylle Il s'agit de savoir d'où naissent les jeunes cellules qui se sont déposées en couche entre les cellules plus anciennes des feuilles de l'Amaryllis , ou bien les petites cellules dans l'extrémité de la fibre radicellaire de la Jacinthe, Il me semble très probable qu'elles s'engendrent, comme une sorte de cristallisation organique , d'un liquide mucilagineux suintant travers les cellules adjacentes, Cette opinion se trouve corroborée par une observation qu'il est facile de faire sur des branches de Saule, émettant des racines dans l'eau Dès que l'extrémité de ces racines a percé l'écorce, on }a voit couverte d'un mucilage transparent, 12 H.-F LINK RECHERCHES une agrégation de cellules allongées, chose autre n'est qu lequel] facilement séparables les unes des autres La figure 1, planche 2, le naturelle ; de radicelles ces grandeur près peu représente rendu par la est l'extrémité recouvre en celluleux qui mucilage sont arrondies aux extréce de Les cellules mucilage figure mités , lorsque celles-ci ne s'ajustent pas d'autres cellules ; tantôt elles contiennent des noyaux cellulaires , tantôt elles en sont dépourvues, et elles sont entourées d'une masse amorphe, trouble et mucilagineuse Au-dessous de ces cellules, vers l'axe de la racine, les cellules deviennent plus courtes , plus élargies au milieu, et rétrécies aux deux bouts ( voy fig 3, même planche) ; de même que dans les cellules du mucilage, il y a tantôt des noyaux et tantôt point de noyaux En comparant cette celle qu'offre l'extrémité des fibres radicellaires de la Jacinthe, où elle présente des excoriations pelliculaires , on voit la surface des cellules inadhérentes, étroites, arrondies aux bouts , semblables aux cellules qu'on remarque la surface des structure, racines de Saule nées dans l'eau, cellules dont l'origine est probablement due au mucilage sécrété par les cellules adjacentes, dont la forme est très différente L'enveloppe mucilagineuse de certains péricarpes offre aussi une sorte de formation de cette nature, et que M G.-F Schmidt a très bien figurée planche de mon Atiatomie des plantes Ainsi, en mouillant sous le microscope la membrane délicate qui recouvre les caryopses de certains Salvia, il en sort subitement de longs fils spirales, ou pour mieux dire des fils tordus en forme de tire-bourre, tels qu'on en rencontre ordinairement dans les trachées ; ces fils sont entourés de mucilage , ou parfois d'une membrane, de manière qu'ils ressemblent un vaisseau spiral ; quelquefois on y remarque même des grains de fécule A la vérité, les cellules de ces enveloppes péricarpiennes montrent déjà , l'état sec , des traces de courbures spiralées ; mais le vaisseau spiral, qui se forme par suite de l'humectation , est si long, qu'on ne saurait admettre qu'il eût préexisté parfaitement dans la cellule ; du moins, il est évident que, dans ces cas, le fil spiralé a été engendré dans un liquide mucilagineux ... démontrer par des expériences, qui sont consignées dans les annales des sciences naturelles, t XXIII, p 141, que la sève monte dans les vaisseaux et non dans le tissu cellulaire J'ai choisi des pieds... étroites et allongées Il y a d'ailleurs des les désigner par le nom de cellules, car il y a des cellules poreuses et des vaisseaux poreux, des cellules spiralées et des vaisseaux spirales C'est tout... Ce sont des cellules de cette nature qui forment le noyau des Drupes, ainsi que les parties pierreuses des Poires ; on conỗoit que la nutrition des plantes puisse modifier la nature des cellules

Ngày đăng: 04/11/2018, 23:08

Mục lục

  • Considérations sur l'organe reproducteur femelle des Balanophorées et des Rafflésiacées, par M. H.-A. WEDDELL

  • Mémoire sur l'embryogénie du Mélèze, par M. le prof. N. GELEZNOFF

  • Recherches sur les zoospores des Algues et les anthéridies des Cryptogames, par M. Gustave THURET

  • Sur les organes reproducteurs des Algues, par MM. DERBES et SOLIER

  • Recherches sur le sommeil des plantes, par M. le professeur Hermann HOFFMANN

  • MONOGRAPHIES ET DESCRIPTIONS DE PLANTES.

  • Melaston acearum quae in Musaeo parisiensi continentur monographicae descriptionis et secundum affinitates distributionis tentamen, auctore Carolo NAUDIN

  • Dix-huitième notice sur les plantes cryptogames récemment découvertes en France, par M. J.-B.-H.-J. DESMAZIERES

  • Cryptogamia guyanensis, seu plantarum cellularium in Guyana gallica annis 1835-1849 a Cl. Leprieur collectarum enumeratio universalis, auctore C. MONTAGNE

  • Index seminum horti academici Hallensis, anno 1850, adnotationes, auctore D.-F.-L. de SCHLECTENDAL

  • Catalogus seminum horti regii botanici Neapolitani, anno 1851, auctore M. TENORE

  • Index seminum horti botanici Turicensis, anno 1850, additamenta, auctore Ed. REGEL

  • Delectus seminum horti botanici Vratislaviensis, auctore NEES ab ESENBECK

  • Hortus Regiomontanus seminifer, anno 1850, auctore E. MEYER

  • Delectus seminum horti botanici Dorpatensis, collectione anni 1850, auctore Al. BUNGE

  • Gramineae orientales novae vel criticae, auctoribus comite JAUBERT et Eduardo SPACH

  • FLORES ET GEOGRAPHIE BOTANIQUE.

  • Comparaison de la végétation d'un pays en partie extra-tropical avec celle d'une contrée limitrophe entièrement située entre les tropiques, par M. Auguste DE SAINT-HILAIRE

  • Sur le Pteroneurum Groecum, récemment découvert en Corse, par M. Victor RENDU

  • MELANGES.

Tài liệu cùng người dùng

Tài liệu liên quan